Rivalis
-
#1Mois1Client Garden City 78, "Le savoir-faire au service des espaces verts" by Damien MARGEZ
- Par harmonie1
- Le 13/04/2021
- 0 commentaire
Bonjour Damien ! Nous sommes ravis d’être avec toi aujourd’hui ! Pourrais-tu te présenter et nous parler de ton parcours professionnel ?
- Bonjour, avec plaisir ! Alors je suis Damien, j’ai 51 ans et cela va faire 33 ans que je suis dans le paysagisme maintenant ! Je suis un peu arrivé par hasard dans ce milieu, mais j’en suis tombé amoureux jeune, c’est pourquoi j’ai fait un BEP horticole. J’ai ensuite commencé à travailler, en Corse, où j’accompagnais un paysagiste, puis j’ai décidé de rejoindre un grand groupe, pour occuper un poste avec plus de responsabilités, en tant que technicien au départ mais j’ai rapidement gravi les échelons, passant à responsable technique, où je gérais une équipe de 10 personnes. Et par la suite, j’ai rejoint la partie commerciale du groupe, en tant qu’attaché clientèle puis responsable commercial !
- Et il y a 3 ans, j’ai décidé de monter ma boite, Garden City ! J’ai donc quitté les grosses structures, et je me suis lancé ! J’étais au début dans une couveuse d’entreprise, pendant 9 mois, ce qui m’a permis d’être accompagné même si, de part mes expériences, j’étais déjà affuté sur la partie commerce. J’ai ensuite rejoint une coopérative d’entreprise, pendant 1 an et demi, où Garden City s’est bien développée, ce qui a permis de valider la solidité du projet. Puis en Janvier 2020, tous les voyants étaient au vert, j’avais suffisamment de recul pour me lancer et j’ai donc officiellement crée Garden City !
Très beau parcours Damien ! Quelles ont été tes motivations à devenir chef d’entreprise, et quels sont tes objectifs et projets à l’avenir ?
- Merci ;) J’ai toujours eu l’ambition et l’envie d’un jour créer ma boite. Puis j’ai vécu certaines situations un peu ambiguës lorsque je travaillais dans des grands groupes, je n’étais plus en accord avec les valeurs de ces entreprises. Et mon parcours professionnel m’a donné plusieurs cordes à mon arc : je sais concevoir, vendre et réaliser un projet, et j’ai une connaissance de A à Z sur les jardins. J’ai donc remis mon bleu de travail, pour pouvoir être à mon compte, et créer une entreprise qui me correspond !
- En termes d’objectifs, le N°1 est une satisfaction cliente parfaite. Quand j’ai crée Garden City, je voulais faire des jardins de qualités, avec une réelle envie de bien faire les choses. C’est donc primordial pour moi que le client soit satisfait à 100% ; du coup je choisis aussi mes clients et les projets, car j’ai envie de travailler avec des gens qui ont la même vision que moi, pour effectuer le meilleur travail possible. Mon dicton « Vaut mieux faire peu et bien que beaucoup et mal », je pense que ça résume ma philosophie et celle de mon entreprise !
- Pour les projets futurs, j’ai commencé tout seul, je faisais les devis et le boulot, mais maintenant j’aimerais embaucher 2-3 salariés, toujours dans l’idée de faire une entreprise de qualité, et pour lâcher un peu la partie manuelle et me centrer sur l’élaboration des projets avec mes clients.
Et comment as-tu rencontré ton conseiller Hervé CANCHEL ?
- Avec Hervé, nous nous sommes rencontrés lors d’un BNI à Maisons-Laffitte en Novembre 2019. Nous avons tout de suite eu un très bon échange, où il m’a expliqué son métier de conseiller Rivalis. Ca m’a fait réfléchir, je l’ai donc rappelé, nous avons convenu d’un rendez-vous, et il m’a présenté plus en détails son accompagnement et ce qu’il met en place avec les chefs d’entreprise. J’avais envie que mon projet soit une réussite et j’ai senti qu’Hervé pouvait y apporter beaucoup, j’ai donc mis le paquet, et nous avons décidé de travailler ensemble !
Et que t’apportes Hervé, au quotidien et dans le développement de tes projets ?
- Au quotidien, Hervé m’apporte de la sérénité. Je maitrise beaucoup de choses mais pas le contrôle de gestion de l’entreprise, la vie secrète d’une boite, comment elle peut être viable. Aujourd’hui, quand je vois un projet, je sais si je peux y aller, si je dois y aller et si je gagne de l’argent. J’ai un tableau de bord pour ma boite. Hervé m’accompagne aussi dans le montage d’un prévisionnel d’embauche.
- Pour moi, Hervé est plus qu’un simple conseiller en pilotage d’entreprise, il affine les choses, il est là pour me dire attention et me donner le tempo. C’est le seul à qui je peux parler de mes problématiques de chef d’entreprise, qui me comprend et qui me trouve des solutions, on parle le même langage. Et il a un rôle très important dans l’équilibre de ma boite. C’est le parrain de Garden City, c’est une personne de confiance sur qui je peux m’appuyer, à qui je peux tout dire et qui peux tout entendre. Et pour finir c’est une très bonne rencontre.
Merci beaucoup Damien pour ton témoignage, nous sommes honorés de travailler avec toi et nous te souhaitons le meilleur, pour toi et Garden City auprès d'Hervé !
-
Et si les entrepreneurs sortaient encore plus forts de la crise ?
- Par harmonie1
- Le 11/01/2021
- 0 commentaire
« Demain ne sera plus pareil » , « Pour moi, c’est la cata » ou à l’inverse « Mon business n’a jamais été aussi florissant », « Ça m’a permis de retrouver ma vie de famille »… En tant qu’entrepreneurs, nous entendons tout et son contraire à propos de cette crise du Covid. Beaucoup de chefs d’entreprise se demandent “comment ils sortiront de la crise”.
Nous pensons à ce chauffeur de taxi qui a perdu tout son chiffre d’affaires pendant le confinement ; à ce commerce qui s’est mis au “clic and collect” pour compenser ses pertes de revenus ; à cette entreprise de menuiserie qui, elle, a remporté de nouveaux chantiers car elle a enfin pu embaucher ; ou encore à l’histoire de cette startup de 11 personnes, Stitch & Story, qui propose des “cours en ligne pour savoir tricoter” et qui voit ses utilisateurs bondir en quelques semaines.
Et si l’on voyait les choses sous un autre angle ?
Si au lieu de se demander comment on sortira de la crise, on se demandait comment en sortir plus forts ?
En tant qu’entrepreneurs, nous avons tous relevé le défi de prendre un jour notre destin en main. Des crises, on en a vécues (rappelez-vous le passage à l’Euro, les Hedge funds en 1998, le Krach boursier de 2001-2002, les Subprimes en 2008…) et nous nous sommes toujours relevés. Cependant, cette crise sanitaire a fait perdre le cap a beaucoup d’entrepreneurs.
Et si on prenait de la hauteur ?
Depuis des années, notre quotidien d’entrepreneurs se mêle aux aléas de nos marchés, de nos clients, de la technologie ou du climat. Face à la crise sanitaire, voilà qu’il se mêle aussi aux décisions d’ouvertures et fermetures administratives et de gestes-barrières. A l’inverse, les progrès techniques ouvrent aussi d’extraordinaires opportunités de développement.
Pas facile de prendre les bonnes décisions dans ce contexte.
Une chose est sûre : rien ne sera comme avant. Cette crise a accéléré des changements que l’on sait inéluctables, la digitalisation en tête.
De nouvelles questions se posent désormais au dirigeant : Comment anticiper la prochaine vague et m’organiser ? Comment gérer le court, le moyen et le long terme ? Dois-je me diversifier et vers quels marchés ? Et le numérique, comment faire pour qu’il me rapporte vraiment ?
Un humain prend 35000 décisions par jour. Que dire d’un chef d’entreprise ! Dans un environnement en mouvement et aussi complexe, comment peut-il désormais prendre les meilleures décisions pour lui et son entreprise ?
Prendre la bonne décision est aujourd’hui si important et si complexe que cela en devient l’enjeu central pour tous les entrepreneurs. Pour sortir plus fort de la crise, l’entrepreneur doit désormais s’assurer de prendre les meilleures décisions pour lui et son entreprise. Quels que soient sa taille, son secteur, son marché, tout le monde est concerné par ce nouvel enjeu.
Alors comment fait-on ?
Avant, c’était assez simple. On misait sur la qualité ou sur le prix, et on se fiait à la recommandation de nos clients fidèles. Au four et au moulin l’entrepreneur « à-tout-faire » pouvait encore survivre.
Aujourd’hui, est-ce encore possible ?
Comment un entrepreneur peut-il à la fois être expert dans son métier, connaître la réglementation, vendre physiquement à ses clients, gérer sa boîte, négocier un prêt, fidéliser ses clients, gérer son personnel, suivre ses budgets, embaucher et investir, chercher de nouvelles affaires… et en plus, vendre en ligne, se diversifier, faire du “clic and collect”, communiquer sur les réseaux sociaux, soigner son e-reputation, gérer ses avis clients, etc. ?
L’entrepreneur « à-tout-faire » est mort. L’entrepreneur du futur est un “entrepreneur-assisté”.
On le voit depuis quelques années, les assistants numériques déferlent sur le web. Ils permettent déjà au dirigeant d’avoir une information de qualité en temps réel, et une organisation plus fluide.
Par exemple, ils alertent ce dernier en cas d’écart avec ses objectifs et l’oriente vers les affaires les plus rentables ; ils lui donnent une visibilité en temps réel sur son activité ; ils garantissent le paiement des factures à risques ou permettent d’avoir plusieurs cartes bancaires virtuelles ; ils font sa comptabilité et organisent ses projets et ses équipes ; ils lui donnent une visibilité sur le web et proposent de vendre en ligne ses produits en quelques clics…
Les assistants numériques font partie de la panoplie de “l’entrepreneur du futur”. Beaucoup les utilisent déjà au quotidien. Ils les ont choisis car ils sont simples, leur font gagner du temps et leur permettent de se concentrer sur l’essentiel : leur métier et leurs clients.
Mais peut-on se fier uniquement à un outil ? Comment un algorithme réagit-il à un contexte particulier comme une crise sanitaire, ou celle d’un marché « disrupté » par un Amazon ou un Uber ? Comment gère-t-il la perte d’un gros client ? Et plus profondément, comment répond-il à nos émotions humaines ? Envies, rêves, exaltation et aussi peurs ou hésitations ?
Par un smiley ?
Les outils sont indispensables, mais largement insuffisants. C’est pourquoi nous pensons que plus il y aura de digitalisation, plus il y aura d’humanisation.
Bien sûr, un humain ne calculera jamais aussi vite qu’un robot. En revanche, il répond par un sourire ou une main sur l’épaule. Il connaît les mots qui redonnent confiance et motivent. Il imagine des solutions innovantes et qui font rêver. Il est irremplaçable pour mettre le doigt sur un problème humain, donner une vision externe ou simplement passer un bon moment à boire un café. Il donne “envie d’avoir envie”.
Comme il a des assistants numériques, “L’entrepreneur du futur” a aussi un « Conseiller Personnel ».
Ce Conseiller personnel (ou cette Conseillère !) vient tous les mois dans ses bureaux et connaît ses besoins, comme il connaît son entreprise et ses salariés ; il se soucie de sa vie personnelle et de son équilibre familial ; il accompagne son client chez son expert-comptable ou son banquier… Il est le confident du dirigeant et fait partie de la « famille ». Il est la première personne que l’entrepreneur contacte pour toutes les décisions importantes.
Quand l’assistant numérique apporte la visibilité et le gain de temps, le Conseiller personnel apporte la sérénité et l’envie à l’entrepreneur. Dans un contexte toujours plus complexe, quel plaisir de pouvoir décider en toute confiance et d’aller de l’avant !
Pour prendre les meilleures décisions, “l’entrepreneur du futur” est assisté d’outils et accompagné de femmes et d’hommes qui le comprennent et l’aident à prendre les meilleures décisions.
Digitalisation ET humanisation.
Pour sortir encore plus fort de la crise, comment peut-on désormais se passer de l’un ou de l’autre ?
Damien et Lionel Valdan
Cofondateurs de Rivalis -
Le fonds de solidarité COVID 19 : mode d'emploi !
- Par harmonie1
- Le 06/01/2021
- 0 commentaire
Entreprise en difficulté • Publié le vendredi 17 avril 2020 par Laurent Obrier, mis à jour le mardi 22 décembre 2020
Plusieurs d'entre vous rencontrent des difficultés à recevoir l’aide défiscalisée plafonnée à 1500€ du fonds de solidarité. Il est ouvert depuis le 1er avril 2020 aux TPE ayant subi une perte de chiffre d'affaires. Voici quelques conseils pour accélérer le versement.
LES ENTREPRISES ÉLIGIBLES AU FONDS DE SOLIDARITÉ
Le fonds de solidarité s'adresse aux :
Commerçants, artisans, professions libérales et autres, peu importe le statut (société, auto-entreprise, association...)
qui ne sont pas en liquidation judiciaire
qui n'ont pas une dette fiscale supérieure à 1 500 €
Le montant de l'aide dépend de la situation de l'entreprise :
Toutes les entreprises concernées par une interdiction d'accueil du public (fermeture administrative)
Le montant de l'aide correspond à la perte de chiffres d'affaires mensuel par rapport à l'année dernière au même mois (ou par rapport au CA mensuel moyen constaté en 2019), dans la limite de 10 000 € (le potentiel chiffre d'affaires réalisé grâce à la vente à distance ou click & collect ne compte pas). Toutes les entreprises fermées pourront en bénéficier, sans critère de taille.
Les entreprises ayant perdu plus de 50% de leur chiffre d'affaires
Pour les entreprises des secteurs S1 (tourisme, événementiel, culture, sport) peu importe la taille : le montant de l'aide compensera la perte de chiffre d'affaires, dans la limite de 10 000 €
Pour les entreprises des secteurs S1 bis (dépendant des activités des secteurs S1) de moins de 50 salariés : le montant de l'aide compensera la perte de chiffre d'affaires, entre 1 500 € et 10 000 €, plafonnée à 80 % de la perte enregistrée
Entreprise créée avant 2020 : la perte de chiffre d'affaires du mois écoulé doit être d'au moins 80 % par rapport à l'année dernière au même mois, OU il faut avoir subi une perte de CA d'au moins 80 % pendant le premier confinement
Entreprise créée en 2020 : la perte de CA doit être d'au moins 80 % pour le mois écoulé par rapport au chiffres d'affaires mensuel depuis la création
Pour les autres entreprises de moins de 50 salariés : le montant de l'aide couvre la perte de chiffre d'affaires pouvant aller jusqu'à 1 500 €
Les établissements recevant du public du type P (discothèques)
Le montant de l'aide sera de 1 500 € maximum et éventuellement complétée par l'aide spécifique de la Région.
LES PIÈCES À FOURNIR
L’État a publié un mode opératoire détaillé pour réaliser votre demande depuis votre « espace particulier » sur impots.gouv.fr.
Voici les informations nécessaires pour faire votre demande :
Votre numéro fiscal personnel avec le mot de passe associé (celui du gérant de l'entreprise)
N° SIRET de l'entreprise
Coordonnées de l'entreprise et du dirigeant
Chiffre d’affaires HT mars 2019
Chiffre d’affaires HT mars 2020
Le RIB professionnel de l'entreprise
ATTENTION : Malgré le fait que la saisie se fasse sur votre espace personnel sur le site impots.gouv.fr, il s'agit d'un fond de solidarité pour les entreprises. Il est donc important de télécharger le RIB professionnel et non pas le RIB personnel. Si vous insérez le RIB d'un particulier, le dossier est bloqué par les services des impôts.
LE MONTANT DE L’AIDE
Le montant de l'aide est calculé automatiquement et permet un rattrapage de chiffre d'affaire dans la limite de 1 500 € ou 10 000 € selon votre situation.
Toutes les informations utiles se trouvent sur le site du Ministère de l'économie.
Le gouvernement annonce le renouvellement du dispositif mois par mois : vous pouvez faire la demande en ligne pour le mois écoulé à partir du début du mois suivant.
LE VERSEMENT DE L’AIDE
L’aide peut être attribuée une seule fois par mois et par numéro de SIRET : même s’il y a plusieurs dirigeants (président SAS et directeur général par exemple), il n'y a qu'une seule aide par entreprise.
Le virement de la DGFIP est effectué normalement entre 3 et 7 jours après votre demande. Si le délai est plus long, contactez les services des impôts via la messagerie sécurisée de votre espace personnel sur le site impots.gouv.fr. Il semblerait que l’afflux de demandes causes des soucis informatiques, patience donc.
L’AIDE COMPLÉMENTAIRE DES RÉGIONS
Si vous êtes éligible à ce premier volet, vous pouvez alors prétendre à l'aide de votre Région ouverte à partir du 15 avril 2020.
Le soutien complémentaire de 5 000 € maximum pourra être octroyé aux entreprises qui :
emploient au 1er mars 2020 au moins un salarié en CDI ou CDD;
se trouvent dans l’impossibilité de régler leurs dettes exigibles dans les 30 jours suivants;
ont vu leur demande d’un prêt de trésorerie faite depuis le 1er mars 2020 refusée ou restée sans réponse passé un délai de 10 jours (auprès d’une banque dont elles étaient clientes à cette date).
La demande d’aide complémentaire est à faire auprès de votre Région, mais ce sera l'occasion d'une nouvelle fiche pratique.
-
Témoignage Client Rivalis - Olivier garagiste à Limoges
- Par harmonie1
- Le 22/05/2020
- 0 commentaire
Nous témoignage d'un client utilisant la méthode Rivalis et suivi par Paul son conseiller Rivalis. Encore un client qui témoigne des bénéfices acquis par Rivalis au sein de son entreprise.
Ci après le lien pour découvrir l'intégralité du témoignage en vidéo:
https://www.pilotage-entreprise-rivalis.com/single-post/temoignage-client-olivier-garagiste